La rêveuse d’Ostende de Eric-Emmanuel Schmitt Quatrième de couverture :Pour guérir d'une rupture sentimentale, un homme se réfugie à Ostende, ville endormie face à la mer du Nord. Sa logeuse, la solitaire Anna Van A., va le surprendre en lui racontant l'étrange histoire de sa vie, où se conjuguent l'amour le plus passionné et un érotisme baroque. Superbe mystificatrice ou femme unique ? Cinq histoires où Eric-Emmanuel Schmitt montre le pouvoir de l'imagination dans nos existences. Cinq histoires - La rêveuse d'Ostende, Crime parfait, La guérison, Les mauvaises lectures, La femme au bouquet - suggérant que le rêve est la véritable trame qui constitue l'étoffe de nos jours.
Mon avis : Un recueil de cinq nouvelles agréables à lire. Moi qui ne suis pas friande de nouvelles loin de là, j'ai apprécié celles ci.
Des recueils qui ont un point commun : l'apparence vis à vis de la vérité.
- La rêveuse d'Ostende qui révèle une jeunesse torride avec un prince, histoire démentie par sa nièce, mais qui dans un nuage de mystères se révèle être réel.
- La femme, qui aimée, adulée par son mari, va en douter à cause d'une voisine malveillante, au point de la faire douter de l'amour de son mari qui parait bien trop beau et amoureux pour être honnête, et le tuer.
- Cet homme aveugle qui va révéler à une jeune infirmière la beauté qu'elle recelle malgré ses rondeurs...
Une lecture que je qualifierais de gourmandise, tellement je m'en suis régalée comme si il s'agissait de chocolat.