Trois femmes puissantes de Marie Ndiaye

Présentation de l'éditeur:

Trois récits, trois femmes qui disent non. Elles s'appellent Norah, Fanta, Khady Demba. Chacune se bat pour préserver sa dignité contre les humiliations que la vie lui inflige avec une obstination méthodique et incompréhensible. L'art de Marie NDiaye apparaît ici dans toute sa singularité et son mystère. La force de son écriture tient à son apparente douceur, aux lentes circonvolutions qui entraînent le lecteur sous le glacis d'une prose impeccable et raffinée, dans les méandres d'une conscience livrée à la pure violence des sentiments.


Alors malheureusement je n'ai pas réussi à terminer ce livre. Je suis totalement passé à côté de l'histoire. Je n'ai absolument pas accroché, j'ai trouvé le style ennuyant, trop de détails et de précisions un peu inutiles à mon gout. Les femmes du roman n'ont aucun lien entre elles (ou alors je n'ai pas compris) chacune se voit consacrée une partie du roman: après on en parle plus, elles disparaissent. J'aurais préféré alterner les trois personnages.
Pour la première Norah j'ai lu son histoire de part en part et je n'ai trouvé ni début, ni fin. On a juste un épisode malheureux et une sombre histoire de famille. On ne sait pas ou se passe l'histoire, il y a plein de choses que l'on ne comprend pas et que l'auteur ne prend pas la peine d'expliquer... le lecteur moyen doit être trop bête pour que Mme Ndiaye perde son temps en descriptions vulgaires.
J'ai lu une partie de l'histoire de la seconde: Fanta. Déjà ce n'est pas réellement son histoire mais plutôt celle de son mari, même si il parle d'elle on ne la voit pas vraiment. C'est à ce moment que j'ai abandonné.
Je ne connaitrais pas l'histoire de la troisième femme et honnêtement.... je m'en fous.
Un roman que j'ai vraiment peu apprécié, je pense qu'il peut aisément plaire à certains mais moi je n'y ai rien trouvé d'intéressant. Dommage.