Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi de Katherine Pancol

Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…

Le troisième tome des aventures de Joséphine et de sa tribu.
C'est avec plaisir qu'on retrouve les personnages des deux tomes précédents mais malgré ses 800 pages ce livre ne fait pas avancer le schmilblick. Il ne se passe pas grand chose, les sentiments mielleux s'étalent au fil des pages, pas de rebellion des gentils, pas de rédemption des méchants. J'en ai un peu marre de l'humilité et des atermoiements de Joséphine, de la volonté de fer d'Hortense, du désir de vengeance d'Henriette, des roucoulades anachroniques de Marcel et Josiane et je ne parle même pas de Junior qui lit dans les pensées grâce à des ondes "transistor"!
Et, la fin est tellement vite expédiée, qu'à mon avis, le quatrième opus est déjà en chantier.
Un livre pas vraiment indispensable. Aux accros je conseillerais de l'emprunter ou d'attendre la sortie en poche.

Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi - Katherine PANCOL


Edition Albin Michel - 848 pages

Quatrième de couverture :

Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu
nigaud. Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant. Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…

Mon avis : Un roman qu'on lit avec avidité! Avoir envie d'ouvrir le livre pour connaître la suite est une réussite en soi. L'ambiance y est passionnante, les personnages attachants même si complètement loufoques comme Junior, ou parfaitement perfides comme Henriette. Mais au final, ces personnages ne sont que les satellites de l'histoire principale, à savoir Joséphine et compagnie. Le reste est la pour divertir, détendre l'atmosphère.

Très bon moment de lecture

J'ai trouvé ce tome moins passionnant que les deux précédents. Le premier tiers m'avait pourtant bien accroché mais au fil des pages je me suis ennuyée. Il ne se passe pas grand chose et j'ai eu le sentiment que l'auteur passait à côté de développements qui aurait pu permettre de nombreux rebondissements.
Les personnages m'ont paru un peu bâclés, j'ai eu du mal à accrocher aux passages du journal intime du petit jeune homme.
La fin m'a un peu surprise, on ignore vraiment comment finissent les personnages....une suite en perspective? Je pensais lire le dernier tome de la saga....J'ai peur de me lasser, à mon avis l'auteure devrait conclure.
En quelques mots, une lecture distrayante, au style assez plat, voir moyen mais qui permet de passer un peu le temps pendant les vacances. Pas indispensable mais distrayant. Un bon roman de gare.